Last Friday, the Chair of the Pension Board went before the General Assembly to attack your elected representatives on the Board (known as UN participant representatives) for having raised their concerns to them about the Fund’s dysfunctions. As you may know, the General Assembly is the Fund’s supervisory authority and ultimate decision-maker.
The Chair accused the UN participant representatives of “unethical conduct, breach of confidentiality, breach of the code of conduct, breach of procedure and violation of Pension Board governance”. Her full statement is here.
Her assertions were underlined by threats of disciplinary action given the Chair’s other role as the UN’s ASG of human resources.
So what exactly is the UN Pension Fund and its leadership trying to hide from the General Assembly, and by extension from you?
In short, here’s what the UN participant representatives had said and to which the Chair of the Board took exception:
- The Fund should not be removed from the legal jurisdiction of the UN Appeals Tribunal.
- The Fund’s budget is being misused by its managers.
- The Fund’s management is not complying with General Assembly resolutions.
- The removal of responsibilities from the Fund’s EMEA office in Geneva is not wise.
- A proposal to lend the Fund’s securities, possibly to short-sellers, violates its own regulations.
- The current governance of the Fund is unwieldy and ineffective.
As you can see, these are pretty important issues that should not be swept under the carpet. Further, Pension Board members have what is called a fiduciary duty to make sure that the Fund is run efficiently and in compliance with the law. When they see violations they are required to report them to the General Assembly.
The UN participant representatives are working hard to make our pension fund more transparent, despite resistance from other Board members and from its Chair. We strongly condemn any attempt to intimidate them. To this end we endorse this letter which they sent to the Secretary-General demanding that he take action on the statement.
We will keep you updated on developments.
In solidary.
Vendredi dernier, la Présidente du Comité mixte de la Caisse des pensions s’est présentée devant l’Assemblée générale pour attaquer les représentants élus au Comité (appelés les « représentants des participants des Nations Unies ») pour leur avoir fait part de leurs préoccupations concernant les dysfonctionnements de la Caisse. Comme vous le savez déjà, l’Assemblée générale est l’autorité de contrôle et le décideur ultime pour la Caisse.
La Présidente a accusé les représentants des participants de « conduite contraire à l’éthique, de violation de la confidentialité, du code de conduite, de la procédure et de la gouvernance du Comité des pensions ». Vous trouverez la déclaration qui a été faite en cliquant sur ce lien.
Des menaces de mesures disciplinaires ont été proférées, vu que la Présidente occupe aussi le poste de Sous-Secrétaire générale à la gestion des ressources humaines.
Alors, qu’est-ce que le Caisse des pensions des Nations Unies et ses dirigeants tentent donc de cacher à l’Assemblée générale, et par extension à vous ?
En bref, voici ce qu’ont dit les représentants des participants de l’ONU et ce à quoi la Présidente du Comité s’est opposée :
- La Caisse ne doit pas être soustraite à la compétence juridique du Tribunal d’appel des Nations Unies.
- Le budget de la Caisse est utilisé de manière abusive par ses gestionnaires.
- La gestion de la Caisse n’est pas conforme aux résolutions de l’Assemblée générale.
- Le retrait des responsabilités du bureau EMEA de la Caisse à Genève n’est pas judicieux.
- Une proposition visant à prêter les titres de la Caisse, éventuellement à des vendeurs à découvert, viole son propre règlement.
- La gouvernance actuelle de la Caisse est lourde et inefficace.
Comme vous le voyez, ce sont des questions assez importantes qui ne doivent pas restées sous couvert. Par ailleurs, les membres du Comité mixte de la Caisse des pensions ont ce qu’on appelle une obligation fiduciaire de s’assurer que la Caisse est gérée efficacement et dans le respect des règles. Lorsqu’ils constatent des violations, ils sont tenus de les signaler à l’Assemblée générale.
Les représentants des participants travaillent dur pour rendre notre Caisse des pensions plus transparente, malgré la résistance des autres membres du Comité mixte et de sa Présidente. Nous condamnons fermement toute tentative d’intimidation de leur part. À cette fin, nous soutenons la lettre qui a été envoyée au Secrétaire général pour lui demander de faire le suivi le suivi de la déclaration.
Nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation.
En solidarité.